Jean-Pierre Bolduc
J'suis né en 1969. Après, à dix-sept ans, avoir été président de l’école Dominique-Racine à Chicoutimi, j’ai complété un Diplôme d’études collégiales (DEC) en Lettres et ai étudié deux ans à l’Université du Québec à Chicoutimi en Études littéraires françaises. J’ai suivi ensuite une formation en bureautique, ce qui m’a conduit à me trouver un emploi dans un organisme communautaire comme adjoint administratif, emploi que j’ai occupé durant vingt-six ans avant de me trouver forcé de l’abandonner pour soigner un cancer de la vessie.
Ma routine de travailleur a été agrémentée durant tout ce temps par différents voyages, tant à l’intérieur du Québec (entre autres Lévis, où j’ai pu visiter les maisons de Louis Fréchette et Alphonse Desjardins ; Drummondville, où j’ai assisté à la toute dernière édition du Mundial des cultures ; Lachine, où j’ai visité la maison natale de Saul Bellow et mangé des mets « lachinois »), qu’à l’extérieur (Ottawa, Toronto, Niagara Falls, Kingston, Gananoque, Genève, Berlin, Paris, le val d’Aoste en Italie, Boston, Philadelphie, Washington, New York).
J'suis amateur de bouquins depuis la fin de mon adolescence. Ayant lu d’abord des philosophes durant une bonne année, j'me suis ensuite tourné du côté des écrivain(e)s de fiction.
J’écris des histoires depuis que j'suis tout jeune. Déjà avant dix ans, je composais des poèmes et de courtes nouvelles. J’ai réussi à faire publier un recueil en 2008 intitulé Rapports et états qui n’existent pas. Mon style de prédilection est donc la nouvelle, bien que je me sois essayé bien souvent au roman, malheureusement sans grand succès. Je souffre souvent quand j’écris sur une « trop » longue période, je m’essouffle. La nouvelle courte me rend toujours heureux et je m’y sens confortable. J’espère de tout cœur que ce plaisir se montrera contagieux.
Mes influences (entre autres) : Les mouvements du nouveau roman, du surréalisme, de l’existentialisme, de l’absurde et de l’OULIPO, Alphonse Allais (pour la brièveté des nouvelles et l’humour), la télé, Internet, la totalité de ce que j’ai lu dans ma vie (du meilleur au pire), toute la musique écoutée, les films vus et l’reste, la température, le troupeau, les moutons noirs (mais pas trop), mon passé, mon présent (surtout quand ça va bien), mon bonheur, mon énergie, mes cinq sens, ma libido, ma pensée (un merci tout spécial à mon hamster)… J’en oublie peut-être.
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter « bonne lecture ».